Une nouvelle norme pénale réprimant le partage de contenu à caractère sexuel sans le consentement de la personne qui y est identifiable est une avancée importante, écrit Céline Vara, députée verte (Neuchâtel)
Si les Chambres du parlement fédéral vont encore s’écharper quelques mois autour de la meilleure notion du consentement dans la redéfinition du viol dans le Code pénal, une avancée importante a fait pratiquement l’unanimité sur le fond: l’introduction d’une nouvelle norme pénale réprimant le partage de contenu à caractère sexuel sans le consentement de la personne qui y est identifiable. Elle sera presque passée inaperçue, la semaine dernière, dans le débat au Conseil national, car aucun-e parlementaire ne l’a contestée, ni en Commission des affaires juridiques, ni en plénum.
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